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Histoire, Parc Naturel
 
 
 
 
 
 
La Vallée borgne



Le territoire de la Communauté de Communes s'étend des deux côtés du Gardon et de la Borgne avec les crêtes pour limites, encaissant les villages dans le creux de la vallée.



L'hôte de passage sera sensible au calme et à la beauté des paysages, au passé de cette vallée dont la mémoire est toujours vivante. Maintien des activités traditionnelles, adaptation à la modernité tout en préservant l'authenticité cévenole, tel semble être le défi qui anime les acteurs locaux de la Vallée Borgne.



Sur l'origine du mot borgne

Le mot borgne, héritier de bornho (se prononce bornio), forme occitane de borgne avant le 15e siècle, ou bornha, désigne les deux rivières qui se rejoignent aux Plantiers : la borgne de la Hierle venant du col de l'Asclier et la borgne de Monteils descendant du col du Pas, qui formeront une seule "bornie" - patois cévenol francisé en 1725 - la Borgne des Plantiers, venant rejoindre le Gardon de St-Jean du Gard en amont de Saumane.

Le foisonnement du toponyme "borgne" concentré sur le territoire de St-Marcel de Fontfouillouse, aujourd'hui Les Plantiers (pics, serre, patronyme, mas...), laisse penser que les bassins versants des deux borgnes sont à l'origine du nom de la Vallée Borgne.

Mais la "bornha" désigne aussi l'orifice par où s'échappe l'eau d'un moulin, d'un réservoir. Elle peut être aussi assimilée à une source située dans une cavité. Par extension et plus poétiquement, certains évoquent la vallée Borgne comme la vallée des sources, tant celles-ci sont nombreuses qui alimentent le Gardon.



Les cinq Communes du canton sont aussi celles de la Communauté de Communes de la Vallée Borgne :
ST-ANDRE DE VALBORGNE (chef-lieu de canton), LES PLANTIERS, SAUMANE, L'ESTRECHURE, PEYROLLES.